dopage cyclisme

cool bien pour eux

pk bien pour eux!! On perd un francais d'avenir donc c pas bien du tout!!



Palmarès sur route [modifier]
2006
1rea étape de Liège-La Gleize (Clm par équipes)
2e du championnat de France sur route juniors
2008
3e du Grand Prix des Marbriers
Palmarès en cyclo-cross [modifier]
2006
Champion de France de cyclo-cross juniors
2007
2e du championnat de France de cyclo-cross espoirs
2008
Champion de France de cyclo-cross espoirs
2e du championnat du monde de cyclo-cross espoirs
2e du championnat d'Europe de cyclo-cross espoirs

L'Union cycliste internationale (UCI) renvoie l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) à sa propre incompétence dans une réponse virulente, jeudi, au rapport de l'AFLD qui l'accusait d'avoir privilégié l'équipe d'Armstrong et de Contador lors du dernier Tour de France.
Au moment de la sortie de ce rapport dans la presse le 5 octobre, l'UCI avait déjà jugé "infondées" les accusations de l'AFLD qui dénonçait, outre un traitement de faveur envers l'équipe Astana, plusieurs dysfonctionnements présumés lors de la Grande Boucle, y voyant "un manque de professionnalisme" des inspecteurs de la fédération cycliste.
Dans cette réponse de 12 pages dont l'AFP a obtenu copie, l'UCI dément non seulement point par point les faits incriminés en donnant sa propre version, mais accuse à son tour l'AFLD d'incompétence.
"Maintenant que le Tour est terminé, il est encore plus évident qu'Astana n'a absolument pas bénéficié d'un traitement privilégié, sauf par le fait que ses coureurs ont été soumis à un plus grand nombre de contrôles que les autres", affirme l'UCI.
Selon elle, "les meilleurs coureurs d'Astana ont subi trois fois plus de contrôles que la plupart des autres coureurs de la compétition".
La fédération rappelle que "le rôle de l'AFLD était modeste selon l'accord" de partenariat qu'elles avaient conclu pour cette Grande Boucle, se bornant à la mise à disposition de médecins pour les prélèvements et à quelques contrôles ciblés.
"La décision unilatérale de l'AFLD de mener un programme informel d'observation, avec pour résultat malheureux un rapport imprécis, incomplet, mal informé et inapproprié, est déconcertante et décevante", souligne l'UCI. "Cela interpelle sur les motifs de l'AFLD".
De plus, "il est important que chacun comprenne que l'AFLD est loin d'être parfaite dans la mise en oeuvre de ses propres activités antidopage", avance l'UCI.
Fiabilité en cause
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La fédération reproche ainsi à l'agence française d'avoir rendu caduques les contrôles antidopage inopinés de cinq coureurs français menés avant le Tour en envoyant au laboratoire d'analyse leurs échantillons avec leurs noms.
Elle dit également avoir déjà exprimé sa préoccupation par écrit au président de l'AFLD Pierre Bordry en juin "concernant la manière peu fiable dont les médecins de l'AFLD remplissaient leur rôle".
"Plusieurs courses internationales de l'UCI ont été faites sans des contrôles antidopage adéquats, à cause de l'incapacité de l'AFLD à remplir ses engagements en terme d'envoi de médecins pour mener les tests", souligne la fédération, qui ajoute que trois autres fédérations internationales - sans les nommer - ont eu aussi de mauvaises expériences avec l'agence française.
La fédération cycliste estime que "M. Bordry a abusé de sa position" et s'interroge sur ses motivations: "est-ce vraiment la lutte antidopage ou a-t-il un autre objectif, un autre agenda ?".
"Que ce soit l'une ou l'autre, le monde du cyclisme n'est pas bien servi par une personne ou une institution, qui comme il apparaît désormais, fait passer son agenda personnel avant son agenda professionnel", selon l'UCI, qui dit qu'elle "ne tolèrera plus cela".
ffc

25 000€
le pauvre il aura plus de sous
foutage de gueule total

L'Espagnol de la Fuji-Servetto Alberto Fernandez de La Puebla a été contrôlé positif à l'EPO le 15 octobre dernier (hors compétition) et suspendu provisoirement. Un contrôle ciblé, basé sur les données du passeport biologique mis en place par l'UCI. Le coureur, qui venait de s'engager pour l'équipe Carmiooo-NGC, pourrait faire appel et demander une contre-expertise.

On ne peut plus dîner tranquille! C'est en tout cas ce qui est arrivé à Oscar Pereiro, vainqueur du Tour de France 2006, tout droit sorti d'une histoire que seul le cyclisme réserve.
Tranquillement installé à une table de restaurant avec des amis, le coureur a eu la "joyeuse surprise" de recevoir un coup de fil de la part de contrôleurs de l'UCI, lui signifiant qu'ils étaient à la porte de chez lui pour lui faire passer un test anti-dopage. Refusant de s'exécuter, ces derniers se sont alors déplacés au restaurant où dînait O.Pereiro. Lui demandant de le suivre à l'hôtel pour réaliser le test, les contrôleurs ont essuyé un nouveau refus: "J'étais avec des amis et je n'ai pas voulu quitter le repas. Et rien ne m'y obligait", a t-il dit à "La Voz de Galicia". "Je dois être disponible pour n'importe quel contrôle pendant une heure par jour à un endroit pré-indiqué. Dans ce cas c'était chez moi entre sept et huit le matin". Mais devant l'insistance des "vampires de l'UCI", il dut tout de même se plier au contrôle. Un contrôle qui eu lieu au sein même de l'établissement, dans un couloir menant aux toilettes, ceux étant trop étroits pour réaliser l'opération. Et Oscar Pereiro dû se mettre torse nu et en caleçon devant un public médusé, assistant à la scène, juste séparée de portes battantes. Choqués, les amis de l'Espagnol ne comprenait pas comment on pouvait traiter un coureur cycliste de la sorte, alors que même un criminel ne serait peut-être même pas traité de la sorte. Quant à Pereiro, perplexe, il a simplement déclaré: "Pourquoi dépensent-ils de l'argent à me tester alors que je n'ai plus couru depuis des mois? J'ai maintenant subit des contrôles dans des aéroports, dans des bars, après un match de foot... Les personnes qui étaient dans ce bar-restaurant ont pu voir de leurs propres yeux dans quelles situations ces contrôles peuvent avoir lieu." L'UCI ne sort une nouvelle fois pas grandi de cette situation, disons-le clairement grotesque.